N° 4 - Février 2008.
Éditorial
Bonjour!
La nécessité d’un rythme plus soutenu se confirme, d’où cette deuxième lettre hivernale.
Nouveautés.
Comme promis, l’étude sur le tableau inédit de Nicolas Prévost représentant Le suicide de Cléopâtre est en ligne. Elle est l’occasion (le prétexte, dira-t-on peut-être...) de ramener l’attention sur des peintures pour lesquelles j’ai songé, par le passé à Jacques Stella. Sans parvenir à vraiment trancher : n’hésitez donc pas à me donner vos réactions, et il se peut que j’intègre les différents arguments plus tard en forme de point d’orgue. En espérant une possible confrontation prochaine...
Même si l’actualité semble être allée plus vite que moi, j’ai proposé un commentaire sur la question, envisagée sous l’impulsion du président de la République, d’un abandon de l’inaliénabilité des oeuvres d’art des collections publiques. On s’amusera peut-être de voir quel exemple j’ai bien pu prendre...
Retouches.
Les références bibliographiques associées à la biographie de Stella n’avaient pas été actualisés. C’est chose faite.
Ébauches.
La question de l’enseignement de l’histoire de l’art reste d’actualité. Je dois prochainement mettre en ligne une pétition qui, je l’espère, servira à soutenir une véritable intégration de la discipline dans la formation des élèves.
La recension de la monographie de Jacques Thuillier, à propos de l’oeuvre, est à peu près finalisée dans son déploiement, mais sa mise en forme à destination d’Internet demande du temps. À quoi devrait s’ajouter la suite des éléments biographiques...
J’ai promis également un état des découvertes concernant Stella depuis la tenue de l’exposition qui lui était consacrée. Elles continuent, et je pense pouvoir aboutir à un point substantiel pour la prochaine lettre.
Je vous donne rendez-vous, pour cette occasion, au printemps, sans doute au mois d’avril.
Bonne lecture!
Sylvain Kerspern
PS : si vous le souhaitez, vous pouvez demander à ne plus la recevoir .
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