À ma mère† Petite pause dans le catalogue de Jacques Stella... pour se consacrer aux neveux et nièces. Il fallait poser un cadre général via une biographie partagée. Pour autant, le point de départ fut l'étude d'une composition peinte en marge du catalogue de Nicolas Poussin, proposée à Antoine Stella, finalement mise en ligne après l'analyse d'une publication dans laquelle se trouvent des informations sur son séjour en Italie. Bonne lecture!
Sylvain Kerspern
Précédente lettre dinformation : n°97, septembre 2022 - Archives des lettres d'information. |
Les Stella/Attribuer |
Pour Pierre Rosenberg Antoine Bouzonnet Stella auprès de Poussin : |
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Sera-t-il possible, un jour, de monter une exposition en l'honneur d'Antoine Bouzonnet Stella (1637-1682) telle que celle qui rend actuellement hommage, à Caen, à celui qui fut apparemment un ami et finit sa vie, comme lui, en travaillant pour la Chartreuse de Bourg-Fontaine, Louis Licherie (1642-1689)? J'ai consacré une étude au neveu de Jacques Stella il y a maintenant une trentaine d'années pour la Société de l'Histoire de l'Art Français (1989), à quoi j'ai ajouté sur ce site quelques compléments indexés ici. Pour partie, son catalogue se constitue progressivement en dépouillant ceux d'autres artistes, en premier lieu l'oncle mais à ce jour, aucune peinture n'avait encore été distraite de ce que l'histoire a pu donner, à un moment ou un autre, à celui qui fut son second maître, Nicolas Poussin, nom imposant un respect parfois pesant. Ce qui suit pourrait en proposer un premier exemple.
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Les Stella | Les Bouzonnet Stella, biographies croisées. | ||
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« Il y a des familles où le goût de certains arts se perpétue et devient pour ainsi dire héréditaire. Soit qu'on doive l'attribuer à la force de la nature, soit que l'exemple et l'éducation y ayent plus de part, il est toujours certain que l'on voit quelquefois les enfants succéder dans leurs biens, et s'en faire en quelque façon un patrimoine qui leur devient d'autant plus avantageux qu'il leur est aisé de l'augmenter. (...) (Jacques Stella) n'eut d'autres élèves que ceux qu'il forma dans sa propre famille, un neveu et trois nièces, qu'il avoit fait venir de Lyon, pour demeurer auprès de luy, tous quatre enfants d'une de ses sœurs. »
(Mariette, vers 1725). - Lire |
Les Stella | Antoine Stella en Italie : enseignements d'un document vénitien. | ||
André Félibien, dans sa brève mention d'Antoine Bouzonnet Stella, insiste principalement sur sa longue formation, auprès de son oncle puis par un séjour de plusieurs années en Italie. Un document publié récemment par deux fois mais assez médiocrement exploité, donne un éclairage particulier sur cet apprentissage, et sur les relations entretenues dans ce cadre par le neveu de Jacques. Pour lui comme pour le personnage central dudit document, Jacques Barri, lui-même mal servi par ses commentateurs, il est non seulement utile mais surtout nécessaire d'en reprendre la teneur pour une plus juste interprétation.
(Mariette, vers 1725). - Lire |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Œuvres datables des années 1644-1645 |
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Cette page regroupe les œuvres datables (mais non formellement datées) du début de la Régence d'Anne d'Autriche, qui la met d'aillleurs à contribution et l'honore alors du titre de chevalier de l'ordre de Saint-Michel.
- Lire la suite Sections d'ouvrages datés du même moment par l'artiste ou les documents: * 1644 * 1645 * Vignettes pour l'Imprimerie Royale, 1639-1644 |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Livre(s) de Vases, dessins, gravures de Françoise Bouzonnet Stella, notice |
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Cet ouvrage, pour lequel Stella a conçu une partition en deux livres, est évoqué par Félibien (1688, ed. 1725, p. 412), qui parle de plus de soixantes vases de différentes sortes. Daté de 1667 - le dernier chiffre en est parfois mal lu -, il accompagne dans le temps les Pastorales, constituant le dernier ouvrage daté de Françoise, qui dût ensuite se consacrer à des sujets de dévotion d'après l'oncle. Claudine mentionne ce livre dans son inventaire de 1693-1695; elle en détaille ce qui lui en restait pour l'ouvrage entier en deux livres et elle en conservait les planches.
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Retouches au Catalogue de Jacques Stella |
Les Stella | Frontispice de l'oraison funèbre d'Henri-Antoine de Burgi, gravé par J.F. Greuter, 4°, 1630. | ||
Mise à jour, août 2022 : Hazard ou ténacité, en cherchant cette fois au nom du responsable du recueil, Cerchiari, j'ai pu trouver mis en ligne l'exemplaire de Cremona, révélant l'image conçue par Stella et traduite par Greuter. On peut comprendre l'appréciation de Boffito à propos de sa bizarrerie mais qui connaît Stella ne s'en étonnera pas. Il est vrai que dans ce registre lugubre, il s'agit apparemment du premier exemple. Viendront ensuite, entre autres, l'Allégorie sur l'agonie du cardinal Borghese (1633) ou la Mort de Théophraste Renaudot (1648), en sorte que s'il est vraisemblable que le commanditaire de ce frontispice ait guidé le programme de son image, l'artiste y trouvait une inspiration propre aiguisée par sa formation florentine et les exemples d'un Jacopo Ligozzi (1547-1627), et la fréquentation des cercles érudits des Barberini.- Lire la suite |
Les Stella |
La Nativité, peinture (Montargis, Musée Girodet) |
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Retouche, septembre 2022. Suite aux inondations qui ont affecté le musée, le tableau a fait l'objet d'une restauration. Nous avons eu l'occasion de le voir cet été, grâce à l'extrême disponibilité de Sidonie Lemeux-Fraitot, ainsi que de l'équipe du musée, qui nous ont permis de prendre connaissance, par surcroît, du dossier le documentant.- Lire la suite |
Les Stella | Nymphes et bergers dansant, dessin (British Museum) | ||
Le dessin était passé sous le nom de Poussin dans différentes collections anglaises depuis le XIXè siècle, attribution réfutée par Pierre Rosenberg et Louis-Antoine Prat (1994) et qui pourrait être consécutive aux fraudes opérées par Pierre Demasso un siècle plus tôt. La typologie n'est pas celle du maître normand mais désigne son ami lyonnais, de même que les indications de chevelure ou de plis des drapés, entre autres.
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Les Stella |
Les Pastorales, dessins, retouche de la notice |
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Retouche, septembre 2022. - Lire |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Œuvres datables des années 1641-1643 |
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Cette page regroupe les œuvres datables des dernières années du règne de Louis XIII, et qui correspondent au séjour parisien de son ami Nicolas Poussin; parmi elles, de rares ouvragres à mettre en relation avec ceux que Félibien dit destinés au roi et au cardinal de Richelieu, et plusieurs exemples de son art dans le domaine de la peinture d'architectures, dont il fit une de ses spécialités.
- Lire la suite Sections d'ouvrages datés du même moment par l'artiste ou les documents: * 1641 * 1642-3 * Vignettes pour l'Imprimerie Royale, 1639-1644 |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Divers ornements d'architecture, dessins, gravures de Françoise et Claudine Bouzonnet Stella, notice |
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Cet ouvrage, pour lequel Stella a conçu une partition en quatre livres, est cité par Félibien. Daté de 1658 - le dernier chiffre en est souvent mal lu -, il suit immédiatement les Jeux d'enfants et les Mesures et proportions du corps humain, publiés l'année précédente. Claudine le mentionne dans son inventaire de 1693-1695; elle en détaille ce qui lui en restait par livres et pour l'ouvrage entier et elle en conservait les planches, au nombre de 67 plus une vignette qui doit correspondre au bandeau de la dédicace, que Mariette dit pourtant gravée par Claudine; à moins qu'il ne s'agisse du portrait de l'inventeur, de la même main mais qu'elle mentionne par ailleurs dans ses propres œuvres (p. 76).
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Retouches au Catalogue de Jacques Stella |
Les Stella |
L'Autoportrait de 1633, peinture (Madrid), mise à jour |
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Depuis la rédaction de cette notice, la peinture a été étudiée par Sylvain Laveissière et évoquée par Gonzalo Redín Michaus, motivant les retouches de l'historique et de la bibliographie, et la révision de la lecture de la signature au dos. J'ajouterai ici simplement que la provenance du marquis de Torrecilla, remontant au XIXè siècle, ne me semble pas nécessairement dénouer le lien avec l'intention de Stella de répondre à l'invitation du roi d'Espagne.
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Les Stella |
L'Immaculée Conception gravée par Karl Audran, mise à jour |
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L'église Saint-Martin d'Aillant-sur-Tholon (aujoourd'hui partie de Montholon, Yonne) conserve une peinture manifestement inspirée de la gravure de Karl Audran dont elle respecte le sens, ajoutant dans la partie basse deux angelots tenant un cartel avec une inscription appelant à la protection d'Aillant par la mère de Dieu (CUM.TUUM.PRAESIDIUM - / CONFUGIMUS - / SANCTA.DEI.GENITRIX - / 1642). - Lire la suite |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Frontispice de Poemata de Maffeo Barberini, dessin, retouche de la notice |
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Je dois à la bienveillance de Vanessa Selbach la connaissance de ce dessin, qui figure dans l'album factice de la collection Marolles consacré aux frontispices, et dans lequel se trouve un autre dessin, généralement donné à Stella mais que je crois de son graveur, Abraham Bosse pour les Comédies de Térence. Les variantes de notre feuille ne tiennent principalement, en dehors de l'inversion préparant la gravure, qu'aux traits des deux femmes, notamment le profil plus rond de la Poésie héroïque (à senestre).
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Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella La Crucifixion de La Passion, peinture, notice |
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Des recherches d'iconographie sur certaines peintures de Stella menées avec ma fille Raphaëlle m'ont conduit à noter une influence assumée de François Verdier (1651-1730) et de fil en aiguille, j'ai pu identifier un des sujets de notre suite, La crucifxion. Il a été vendu sous ce nom chez Sotheby's à Londres le 26 octobre 1994. La typologie au nez fort des deux femmes, entre autres, correspond bel et bien au dernier style de Jacques Stella, de même que le canon trapu visible dans toute la suite.
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Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Œuvres datables des années 1639-1640 |
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Pendant de la page ouvrages datés par l'artiste ou par les documents des mêmes années, de 1639 à 1640, déjà mis en ligne; parmi eux, le portrait du futur Grand Condé, placé plus tôt qu'il ne l'a encore été; une commande importante mais mal conservée pour les Séguier et le Carmel de Pontoise; et la peinture ayant réalisé le plus haut résultat en vente pour Stella. - Lire la suite |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Œuvres datables des années 1636-1638 |
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Complément aux ouvrages datés par l'artiste ou par les documents des mêmes années, de 1636 à 1638, déjà mis en ligne, avec, entre autres, les importantes commandes pour la tenture de la Vie de la Vierge destinée à Notre-Dame et les deux retables des chapelles secondaires de la chapelle du château-vieux de Saint-Germain.
- Lire la suite Nota: je remets ici le lien, fautif dans les précédentes lettres en faisant mention, vers cette page mise en ligne il y a plus d'un an. Je ne m'en suis aperçu que maintenant, les ai corrigées mais je m'assure ainsi qu'elle n'échappe pas aux lecteurs de cette lettre car elle aborde certaines des commandes les plus importantes de l'artiste, pour Richelieu et pour le roi. |
Les Stella |
Les camayeux, addenda. De véritables camaïeux à l'Albertina - La collection du Museum of Fine Arts de Boston, retouche |
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Un passage des Notes de Mariette laissait présager l'existence d'essais de véritables camaïeux, à savoir des gravures nécessitant plusieurs planches (ou rentrées selon le terme de Papillon), une pour les traits, l'autre ou les autres pour la ou les teintes. Mariette en voit deux pour les sept versions dont il dispose et les signale de plus petites dimensions. Leur découverte dans le fond en ligne de l'Albertina confirme cette légère différence de format, montrant sur une même page les deux versions l'une au-dessus de l'autre de la Sibylle de Lybie, planche des traits du véritable camaïeu en haut, planche unique de l'ensemble en bas (ci-contre à gauche). Ci-contre à droite, elles sont flanquées de celle en deux planches, traits et couleur, de l'Hellespont et en dessous, de sa version la plus connue en une seule.
- Lire La grande disponibilité de Katherine Harper, Curatorial Fellow au département des estampes et des dessins du Museum of Fine Arts of Boston m'a permis de clarifier les interrogations sur certaines gravures mises en ligne sans reproduction. - Lire |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Le mariage mystique de sainte Catherine, peinture (Lyon, église Saint-Paul), notice |
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J'ai longtemps hésité à propos de cette peinture que je n'ai pas vue, et longtemps suivi l'impression restituée aussi bien par Daniel Ternois que Gilles Chomer en soupçonnant la copie. Certains détails, sur photographie, me laissait pressentir une raideur sinon une pesanteur dans les poses ou les drapés inhabituels. L'entreprise du catalogue raisonné me permet aujourd'hui d'y voir des éléments propres à une période assez brève, entre Rome, Lyon et Paris, qu'éclairent les rapprochements proposés dans la notice; réévaluation qui appelle les réserves d'usage d'un ouvrage connu par cette seule photographie en noir et blanc. - Lire |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella La Vierge à l'Enfant à qui sainte Anne montre une rose qu'elle tient, peinture, notice |
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Une méprise peut parfois aboutir à une juste identification. L'examen de la vignette de quelques centimètres d'une peinture anonyme publiée par Pierre Rosenberg en 1982 en annexe du catalogue de l'exposition sur la peinture française du XVIIè siècle dans les collections américaines m'avait fait voir un chat guettant un oiseau que la vieille femme tiendrait dans sa main, à mettre en relation avec une peinture passée dans la vente Chiquet de Champ Renard le 14 mars 1768 (n°73). Une meilleure photo me fit réaliser que le chat était en fait une sculpture de lion couché et l'oiseau, une fleur.
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Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Le miracle des cinq pains, dessin (Castello Sforzesco), notice |
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Francesca Mariano (2021) a découvert dans les collections du cabinet des dessins du Castello Sforzeco, à Milan, un dessin à la sanguine préparant une composition dont jusqu'alors il n'y avait aucun autre témoignage qu'écrit depuis des décennies. Le tableau final a disparu au cours de la Révolution après avoir été confié au peintre Jean Naigeon, en 1798, pour être vendu; l'esquisse jadis restée dans le fonds d'atelier et mentionnée par Claudine dans son testament et inventaire (1693-1695), puis après son décès par Bon Boullogne en 1697, semble réapparaître sur le marché d'art en 1795 et en 1819 après un passage en Italie, avant de s'évaporer à nouveau. La publication de la feuille italienne favorisera peut-être leur réapparition; peut-être aussi celle d'un autre dessin à la plume et au bistre dont la mention lors de la vente du grand collectionneur le comte de Saint-Morys en 1786 n'est pas claire puisqu'elle ne rattache pas indiscutablement le nom de Stella au sujet de La multiplication des pains et des poissons. - Lire |
Les Stella |
Catalogue de Jacques Stella Frontispice pour La vie de sœur Marie-Marguerite du Saint-Sacrement, gravures de Poilly et Le Doyen, notice |
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Je n'ai pas mis en ligne cette composition en même temps que les autres productions de cette année parce que le frontispice de l'ouvrage de Denis Amelote (1609-1678) a été gravé par deux artistes différents d'après une même composition et pour le même éditeur à un an d'intervalle, ce qui est difficilement explicable. Mariette donnait pour prénom au Poilly auteur de la version de 1654 Nicolas plutôt que François, ce qui ne convainc pas José Lothe. Son argument de la signature ne me paraît pas plus décisif, et son parti se heurte au fait que François de Poilly doit être encore à Rome où sont publiés plusieurs ouvrages cette année-là ornés d'estampes de sa main (Lothe 1994, FdP 49-50, 51, 56, notamment). Au reste, l'historien ne le fait rentrer à Paris qu'en 1655 (p. 22).
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Attribuer |
À propos du Grand Cabinet de la Reine du Louvre au temps de Marie de Médicis. II. Les portraits « Médicis |
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Progressivement, le partage des mains travaillant pour Henri IV et Marie de Médicis se précise. J'ai contribué, sur ce site, à éclaircir le travail de celles de Nicolas Baullery, de Jacob Bunel, d'Ambroise Dubois, et peut-être de Jacques Quesnel. J'ai, coup sur coup, identifié deux peintures incontestables de Guillaume Dumée passées sur le marché d'art. Ces différents travaux me permettent aujourd'hui de revenir sur les artistes actifs sur l'un des chantiers importants de la régence de Marie de Médicis, l'aménagement du Grand Cabinet de la Reine-Mère au Louvre, vers 1613-1614. Une première étude s'est focalisée sur les sujets romanesques tirés du Tasse. Ce second volet aborde les « portraits Médicis ».
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Les Stella/Attribuer |
Catalogue de Jacques Stella - Ouvrages rejetés : - La Sainte Famille, sainte Catherine et des anges présentant des étudiants - Le Christ enfant enseignant ses parents, gravures de Karl Audran et Gabriel Ladame du fond de la BNF. |
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Le fond du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France est, pour Jacques Stella, un ensemble capital. Pour autant, le rassemblement de son œuvre, en particulier le fonds Béringhen, n'est pas à accepter sans réserve. Un tri doit être fait, en voici deux nouveaux exemples.
L'estampe se trouve dans le recueil principal consacré aux Stella, coté Da 20 fol (p. 34). La lettre est muette sur l'inventeur, ne mentionnant que le graveur, Karl Audran (1594-1674) et l'éditeur Herman Weyen (mort en 1672). Mariette ne l'intègre pas dans l'œuvre des Stella et ce n'est qu'après lui, apparemment, que le nom de Jacques lui est attribué, sans doute sur la foi d'autres exemples de leur collaboration, à Rome comme en France. Il semble que ce soit Heineken (1706-1791) qui le premier (1778) donne cette attribution, reprise ensuite par Huber et Rost (1804), Charles Le Blanc (1854), quoiqu'avec prudence, et Weigert (1939). - Lire la suite Il me semble que la restitution de la composition précédente à Baugin doit entraîner celle d'une autre estampe figurant dans l'œuvre de Stella au Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale de France provenant de la collection Beringhen, acquise dès 1723. Elle représente un jeune enfant auréolé une main levée dans un geste oratoire, qu'écoutent une femme assise, la main sur le cœur, et un homme debout appuyé sur un muret, dans une attitude assez proche du Joseph de la Sainte famille étudiée plus haut. - Lire la suite |
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