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Sylvain Kerspern - dhistoire-et-dart.com | |
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Les Stella |
« Il eut aussi une singulière estime pour le Poussin, qui de sa part n'en avoit pas moins pour Stella. » (Félibien) L'amitié en peinture : les Poussin de Jacques Stella. 2c. Portrait d'un ami en peintures : Moïse exposé à la Divine Providence Mise en ligne en juillet 2024 |
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1. Contours d'une collection (juillet 2023) |
2a. Portrait d'un ami en peintures : Souvenirs d'Italie (janvier 2024) |
2b. Portrait d'un ami en peintures : Moïse et la Divine Providence (avril 2024) |
Mes premières recherches en histoire de l'art, il y a bientôt quarante ans, sont nées de l'interrogation des sources et commentaires à propos de Jacques Stella, singulièrement dans le rapport amical qu'il a pu entretenir avec Nicolas Poussin. Une forme d'incompréhension sinon d'indignation devant l'admiration pour l'un et l'infamie du qualificatif d'imitateur (au mieux) pour l'autre m'a poussé à entreprendre à réunir les éléments d'une défense de l'œuvre du Lyonnais, en commençant par réunir ses ouvrages qui me semblaient les plus sûrs, sous l'impulsion bienveillante de Jacques Thuillier. Mon article de 1994 pour la Gazette des Beaux-Arts signait un au revoir pour laisser le champ libre à Gilles Chomer après avoir partagé avec lui mes dossiers, par l'esquisse d'un parcours stylistique venant en contrepoint à l'étude des ressorts de ce que j'ai appelé une « amitié funeste » au gré de sa fortune - en fait son infortune - critique. |
Moïse et la Divine Providence/2 |
Après avoir pris le point de vue du Lyonnais dans son appétit du travail de son ami, la focale se resserre ici sur les ouvrages que Poussin a peint intentionnellement pour Stella, l'amitié en tête.
Dans la première partie de ce petit feuilleton, j'ai déjà donné quelques indications concernant les deux premiers tableaux mentionnés par Félibien comme peints par Nicolas pour Jacques : l'Armide transportant Renaud endormi aujourd'hui à Berlin, et Hercule transportant Déjanire aujourd'hui perdu, connu par des dessins préparatoires; à leur propos, je suis revenu ici sur ce qui peut être considéré comme des remémorations du temps passé ensemble en Italie. |
Moïse exposé sur les eaux. |
Cinq ans après avoir abordé pour son ami une première fois la figure tutélaire de l'Ancien Testament au travers d'un de ses miracles les plus retentissants, et avoir ironisé sur les commentaires soulevant des doutes sur sa science du décorum, Poussin évoque à nouveau Moïse porté par la Divine Providence dans des dimensions quasi-identiques. Celle-ci s'y manifeste peut-être de façon la plus éclatante, puisque l'épisode au cours duquel le futur législateur est exposé sur le Nil par ses parents pour échapper à l'ordre de Pharaon de tuer tous les fils nouveaux-nés des Juifs cristallise l'insigne faiblesse humaine au regard des desseins divins :
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Nicolas Poussin, Moïse exposé sur les eaux du Nil. Toile. 149,5 x 204,5 cm. Ashmolean Museum |
Entre-temps, que s'est-il passé? 1649 était l'année de tous les dangers en maints endroits de l'Europe, et particulièrement en France. Cinq ans plus tard, Mazarin, Anne d'Autriche et le jeune Louis XIV ont triomphé de la Fronde. Poussin atteint la soixantaine, et c'est au cours de cette année, en peignant le retable de Provins sans doute au cours du second semestre, que Stella ressent les premières fatigues qui l'empêcheront, désormais, de peindre en grand format. C'est aussi l'année de la première publication de la nièce Claudine, gravant un dessin inspiré du Saint Louis distribuant les aumônes peint pour la chapelle royale de Saint-Germain (Rouen, Musée des Beaux-Arts) une quinzaine d'années plus tôt, qu'avait rejoint ensuite la Cène (Louvre) de son ami normand. L'estampe constitue un premier jalon dans la mise en place de l'atelier des Stella, officialisée auprès du roi.
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Jacques Stella (et Nicolas Blasset), Retable des Cordeliers de Provins. Provins, église Saint-Ayoul |
Claudine Bouzonnet Stella d'après Jacques Stella, Saint Louis distribuant les aumônes. Gravure. 30,1 x 23 cm. BnF |
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Nicolas Poussin, Paysage avec Pyrame et Thisbé. Toile. 191 x 274 cm. Städel Museum, Frankfurt am Main |
« J'ai essayé de représenter une tempête sur terre, imitant le mieux que j'ai pu l'effet d'un vent impétueux, d'un air rempli d'obscurité, de pluie, d'éclairs et de foudres qui tombent en plusieurs endroits, non sans y faire désordre. Toutes les figures qu'on y voit jouent leur personnage selon le temps qu'il fait : les unes fuient au travers de la poussière, et suivent le vent qui les emporte ; d'autres au contraire vont contre le vent, et marchent avec peine, mettant leurs mains devant leurs yeux (ci-dessous détail 1). D'un côté un berger court, et abandonne son troupeau, voyant un lion qui, après avoir mis par terre certains bouviers en attaque d'autres, dont les uns se défendent, et les autres piquent leurs bœufs, et tâchent de se sauver. Dans ce désordre la poussière s'élève par gros tourbillons. Un chien assez éloigné aboie, et se hérisse le poil, sans oser approcher (détail 2). Sur le devant du tableau, l'on voit Pyrame mort et étendu par terre, et auprès de lui Tysbé qui s'abandonne à la douleur. » (Lettre de Poussin à Stella, 1651) |
Nicolas Poussin, Paysage avec Pyrame et Thisbé. Toile. Détails décrits par Poussin. Städel Museum, Frankfurt am Main |
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Détail 1. | Détail 2. |
Les citations de lettres de Poussin à Stella concernent : Armide transportant Renaud (et Camille et le maître d'école des Faléries); La Manne peinte pour Chantelou; Le frappement du Rocher. Le premier et le dernier furent peints pour le Lyonnais, qui avait pu ou pouvait encore voir les deux autres. Quelle intention révèle le fait de vouloir ainsi rendre compte d'une peinture que Stella n'aura sans doute pas l'opportunité d'admirer par lui-même? La description pourrait passer pour une ekphrasis, description d'œuvre d'art qui participe des sources d'inspirations depuis la Renaissance - puisque le fondement de la période est de faire revivre l'Antiquité, y compris celle disparue, évidemment. Poussin pouvait avoir en mémoire une telle opportunité en entretenant une si abondante correspondance avec ses proches, et dans la suite des Images de Philostrate, notamment de l'édition illustrée par Antoine Caron (1615) dont Blunt avait noté l'impact sur son œuvre.
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« Si vous voulez bien représenter une tempête, considérez & prenez bien garde à ses effets, lorsque le vent souffle sur la mer ou par la campagne, il remue & emporte confusément quand & soi tout ce qu'il rencontre détaché de la masse universelle ; & pour figurer cette tempête, vous feindrez premièrement les nuages entrecoupés & portés avec impétuosité par le vent du côté qu'il souffle, l'air tout embrouillé de tourbillons d'une poussière sablonneuse levée du rivage, des feuilles, et même des branches d'arbres enlevées par la violence & fureur du vent, la campagne tout en désordre par une agitation universelle de tous les corps volatiles épars confusément parmi l'air : les arbres & les herbes renversées par terre, se laissant aller au gré du vent, les branches courbées contre leur cours naturel, & les feuilles toutes retroussées et repliées, & les hommes qui s'étaient trouvés par la campagne, les uns renversés & embarrassés dans leurs manteaux, couverts de poussière & méconnaissables, & les autres qui seront demeurés debout qu'ils soient derrière quelque arbre, & le tiennent embrassé de peur que l'orage ne les entraîne, les autres les mains sur les yeux crainte de la poudre, baissés contre terre, & leurs draperies volantes & emportées par le vent. (...) On feindra par l'air des nuages emportés avec impétuosité par les vents, arrêtés, repoussés sur les sommets des hautes montagnes, les environner comme si c'étaient des vagues rompues contre des écueils, le jour obscurci de noires ténèbres, & l'air tout rempli de poudre, de pluie & de gros nuages. » (Traité de Léonard, trad. fr. par R. Fréart de Chambray |
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Nicolas Poussin, Paysage avec Pyrame et Thisbé. Toile. 191 x 274 cm. Städel Museum, Frankfurt am Main |
Ci-dessus est repris le chapitre du maître italien ayant pu inspirer Poussin selon les passages soulignés en gras. Peut-il y avoir coïncidence entre le tableau pour Cassiano et cet extrait d'un traité dont la traduction par Chambray est dédiée à Poussin, si proches dans le temps, étant entendu que le peintre en avait eu connaissance dès l'été 1650 puisqu'il mentionne dans sa lettre à Chantelou d'août l'hommage liminaire et l'objet du traité, la peinture, interdisant toute confusion avec le Parallèle de l'architecture publié cette année-là? Peut-il alors s'agir d'un hasard qu'il rende compte du tableau à Stella, proche des frères Fréart, amis communs? La façon dont le Normand le décrit met en évidence le déploiement du paysage avant d'en venir à la péripétie, puis au sujet tiré d'Ovide. Tout se passe comme si Poussin était parti du défi de mettre en pratique les indications de Léonard, pour ensuite en rendre témoignage puisque le tableau restait à Rome, venant contredire fermement et par anticipation les propos que lui prêtera Bosse. L'histoire de Pyrame et Thisbé y est agrégée. Fut-elle plaquée, personne ne semble y croire. Pourtant - ou d'autant plus que? - le cadre diurne et orageux n'est pas celui du texte d'Ovide; tout aussi étonnante est la surface calme du lac, au centre du tableau, en contradiction avec la remarque de Léonard soulignant le besoin de restituer les effets de la tempête sur terre ou sur mer - sur les eaux, donc.
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Il me semblait nécessaire de m'attarder sur le tableau de Francfort et sa description à Stella en raison de la mise en évidence renouvelée de la Divine Providence, car elle éclaire le contexte du Moïse exposé peint trois ans plus tard pour le Lyonnais, que Félibien désigne comme un « tableau admirable pour l'excellence de son paysage ». Le législateur apparaît décidément comme l'incarnation la plus nette - pour qui sait voir - et la plus mystérieuse - pour des proches - des voies ouvertes par la volonté de Dieu. Mais comment se manifestent-elles, cette fois?
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Nicolas Poussin, Moïse exposé sur le Nil. Toile. 145 x 196 cm. Dresden, Gemäldegalerie Alte Meister |
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Eustache Le Sueur, Moïse exposé sur le Nil. Toile. 218x148 cm. Ermitage |
Pierre Patel, Moïse exposé sur le Nil, 1660. Toile. 96 x 83 cm. Louvre |
Cette fois, aucune ambiguïté, le père est là, s'éloignant accablé, accompagné d'Aaron. Le coloris des vêtements souligne l'analogie avec la Sainte Famille. La mère est encore au bord du Nil, la main tendue vers la corbeille, le visage portant un masque de souffrance auquel répond celui du Dieu-fleuve. La sœur, entre les deux, pose sa main sur la bouche, imposant le silence à sa mère tout en indiquant, au loin, l'heureuse perspective du cortège de la princesse. L'approche ne passe plus principalement par le jeu des formes, malgré l'embryon psychologique, simple accompagnement du regard dans le tableau de Dresde, mais par l'expression des Passions. Le parcours visuel du spectateur s'imprime dans le cheminement aussi bien du Nil, selon le sens indiqué par le sphinx sur lequel s'appuie le Dieu-fleuve, que de la voie qui ramène à la ville, sur laquelle s'est déjà engagée la sœur, prête à intervenir auprès de la fille de Pharaon pour le bien de Moïse. |
Son attitude, significativement, va dans le sens contraire du cours d'eau, et de celui de lecture occidentale. Elle vient contrecarrer les dangers d'une flottaison aventureuse. À elle seule, elle incarne la Divine Providence, mais elle ne saurait s'exprimer que dans le paysage, «admirable pour son excellence» selon Félibien.
En regard du Paysage avec Pyrame et Thisbé, il véhicule par sa tranquilité une même issue heureuse, le même dessein divin, et une invitation pour le spectateur à en prendre, plus que jamais, conscience. Cette impassibilité, encore sensible dans la froideur du coloris, en contraste avec les tons des personnages, et née de l'abondance aquatique et végétale, signes de la fertilité du Nil pour l'Égypte et de l'avenir de Moïse, n'est pas témoignage de l'indifférence aux drames humains : le parallèle entre les deux masques de douleur de la mère et du Dieu-fleuve, dont l'attention est clairement portée vers l'action principale et l'attitude maternelle, témoigne du contraire, justifiant d'un usage que Loménie de Brienne ne comprenait pas. La manifestation de la Providence divine n'empêche pas la compassion, un domaine parfaitement maîtrisé aussi bien par Poussin que par Stella, chacun à leur façon.
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Nicolas Poussin, Paysage avec Pyrame et Thisbé. Toile. 191 x 274 cm. Städel Museum, Frankfurt am Main |
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Au-delà de semblable délectation et de l'exploitation de sources possibles, peut-il y avoir un sens plus précis à rattacher aux liens privilégiés entre les deux peintres depuis tant d'années, sans doute trente-six ou trente-sept ans et leur rencontre à Florence, au moins trente ans et l'arrivée du Normand à Rome? Il faut d'abord noter une constante dans les peintures faites expressément pour le Lyonnais, l'importance du paysage qui se prolonge ici dans une forme très composée. Il y évoque une antiquité plus romaine qu'égyptienne - possible allusion à leur compagnonnage italien lisible pour Stella? -, et le cheminement du destin d'un enfant abandonné au fil d'un cours d'eau qui pourrait aussi bien être celui du temps.
Stella a toujours manifesté une tendresse pour l'univers de l'enfance, depuis les années florentines en passant par la suite de dessins sur ses jeux et plaisirs et jusqu'à l'éducation de Cupidon par Vénus. Il a pris en charge celle, artistique, de Claudine, qui a déjà commencé à peindre et graver, d'Antoine et sans doute de Françoise, son neveu et ses nièces.
Sylvain Kerspern, le 29 juin 2024 |
À suivre : Vie et mort autour de Bacchus |
Bibliographie :
* Torquato Tasso, La Jerusalem délivrée, trad. fr. par Jean Baudouin, Paris 1648, p. 468-469 * Léonard de Vinci, Traité de la peinture, trad. fr. par Roland Fréard de Chambray, Paris, 1651. * Abraham Bosse, Traité des pratiques geometrales et perspectives, Paris, 1665, p. 128-129. * Jean Bernier, Histoire de Blois, Blois 1682, p. 167, 570 * Giovanni Pietro Bellori, Le_vite_de_pittori_scultori_et_architetti..., Rome, 1672, rééd. 1977, p. 447. * André Félibien, Entretiens sur la vie et les ouvrages des plus excellens peintres..., Paris, 1666-1688; 4e partie, 1685, p. 262, 263, 264, 294, 299, 300, 304, 305, 399; 2e. éd., 1688, t. II, p. 658 * Pierre Rémy, Catalogue des tableaux et portraits en émail du Cabinet de feu M. Pasquier, Paris, vente du 10 mars 1755; exemplaire de l'INHA, p. 9 * (Pierre-Jean Mariette) Abecedario de P. J. Mariette : et autres notes inédites de cet amateur sur les arts et les artistes, publié par Montaiglon et Chennevières en 1852-1862; t. 5, 1858-1859, p. 261 * (Claudine Bouzonnet Stella) «Testament et inventaire (...) de Claudine Bouzonnet Stella», publiés par J-J. Guiffrey, Nouvelles archives de lArt Français, 1877, p. 38 (notamment). * Charles Jouanny, Correspondance de Nicolas Poussin, Paris, 1911, p. 369, 393, 406 (notamment). * Marcel Roux, Inventaire du fonds français graveurs du XVIIIè siècle, Paris, 1940, t. IV, p. 179. * Jan Bialostocki, « Une idée de Léonard réalisée par Poussin », La Revue des Arts, 1954, IV, p. 131-136. * Jacques Thuillier, « Pour un Corpus Pussianum » in Colloque Nicolas Poussin. Actes publiés sous la direction dAndré Chastel, 1960, t. 2, p. 214, 218, 219, 221, 222. * Anthony Blunt, Poussin, Londres, 1967, p. 148-149. * Jacques Thuillier, Tout l'œuvre peint de Nicolas Poussin, Paris, 1974. * Jacques Thuillier, « Le paysage dans la peinture française du XVIIe siècle de l'imitation de la nature à la rhétorique des Belles idées », Cahier de l'Association internationale des études françaises, 1977, n°29, p. 45-64. * Honor Levi, «L'inventaire après décès du cardinal de Richelieu », Archives de l'art français, Paris, 1985, p. 62, n°1002bis. * Jacques Thuillier, « L'influence des Carrache en France : pour un premier bilan », Actes du colloqueLes Carrache et les décors profanes, Collection de l'École française de Rome, 1988, p. 426-427. * Sylvain Kerspern, «Mariette et les Bouzonnet Stella. Notes sur un atelier et sur un peintre-graveur, Claudine Bouzonnet Stella», Bulletin de la Société de lhistoire de lart français, 1993, 1994, p. 31-32 (fig. 1). * Louis-Antoine Prat et Pierre Rosenberg, catalogue de l'exposition Nicolas Poussin, Paris, 1994 (notamment p. 236-237, 355-362, 397-402,419-424, 484-487, 498-500). * Jacques Thuillier, Poussin before Rome, Londres, 1994, p. 14, 28. * Jacques Thuillier, Poussin, Paris, 1994. * Catalogues de la collection d'estampes de Jean V, roi du Portugal par Pierre-Jean-Mariette, éd. Marie-Thérèse Mandroux-França et Maxime Préaud, Paris, 1996, II, p. 236. * Henry Keazor, « Coppies bien que mal fettes : Nicolas Poussin's Rinaldo and Armida re-examined », in Gazette des Beaux-Arts, 2000, n°1583, p. 253-264. * Mickaël Szanto in cat. expo. Jacques Stella (1596-1657), Lyon-Toulouse, 2006-2007, p. 259-260. * Stefano Pierguidi (2011-1), « Uno de quali era già principitao, et l'altro me l'ordinò. I pendants di Poussin, o la libertà dai condizionamenti del mercato et della committenza », Schifanoia, 2009, 2011, n°36-37 p. 233-249. * Stefano Pierguidi (2011-2), « Fetonte chiede ad Apollo il carro del Sole e Armida trasporta Rinaldo di Nicolas Poussin e i loro possibili (non identificati) pendants », Jahrbuch der Berliner Museen, 2011, Bd. 3011 p. 67-71. * Maxime Cormier, Marie de Médicis au pouvoir vue par les observateurs italiens, Master d'histoire moderne, Université de Rennes-2, 2012, p. 253-257. * Sylvain Kerspern, « Catalogue en ligne de l'œuvre de Jacques Stella, notice du Portrait de Claudine de Masso, 1654 », dhistoire-et-dart.com, mise en ligne en janvier 2017 |
Courriels : sylvainkerspern@gmail.com. |
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